Les Ogres de Barback Vue d'ensemble

Je l’ai vu, je m’en suis aperçu, je l’ai compris tu ne m’aimes plus.
Ne cherchons pas midi à 14 heures, j’en reste las seul avec mes pleurs,
Et si de l’amour, toi tu m’as tout appris, humblement je t’en remercie,
Et je t ’écrase sous des tonnes de questions, je te déchire à coup de crayon.
C’est un cadeau empoisonné, innocemment, tu me l’as laissé
C’est étrange ne le sais-tu pas, il me déchire au même endroit
D’ où m’était venue l’aventure, quand tes rires étaient alors
Des pommades pour mes blessures, que j ‘appliquais sur tout mon corps.
Et je disperse le soleil, ton souvenir m’ émerveille
Et je t’éclate du coin de l ’oeil, j ’aperçois au loin ton cercueil
La chanson est inutile, les mots sont si peu habiles
Ces refrains-là sont les pires, et je ne sais plus quoi dire
Si tu m’abandonnes ici, si tu lâches à jamais ma vie
Bah, ce n’est pas un problème, c’est le malheur qui se sème
Ne vois tu rien d‘autre encore, si ne n’est souhaiter ma mort
Pour couper les ponts, c’est sûr, faudra les réduire en sciure
Il faut que je crève l’abcès, que je remplace ton absence
Mais chaque souvenir me paye ma tête et rave ma souffrance
Il n’y a pas 36 solutions, pas de plus belle punition
On va tout lâcher d ‘accord pour qu’il n’y ai plus un accord
Rien ne sert d‘inventer plus, pour détruire ce qui suit
jE suis déjà plus que nu, rien à cacher qu’est en vie
Alors j’ouvre la fenêtre, une dernière fois peut-être
Plus rien n’est peur ,tout est à rire, alors pourquoi pas mourir
Et si tes routes nous séparent, qui se souviendrait de notre histoire
Si e ne chantais cette chanson, pour toi petite fille
…qu’échangent les sons ?